LE RÉSEAU

PUISSANCE QUATRE

En 2018, liés par leurs engagements respectifs en faveur de la jeune création, La Loge, le TU-Nantes, le Théâtre Olympia – Centre dramatique national de Tours, le Théâtre Sorano et le Théâtre 13 se fédèrent autour d’un objectif commun : accompagner les parcours de quatre artistes théâtraux émergent·e·s, et soutenir la production et la visibilité de leurs spectacles à travers une mutualisation de leurs ressources. Forts de leur expertise et de leur complémentarité, ils unissent leurs forces pour offrir aux compagnies un parcours structuré sur trois ans.

Pour soumettre un projet dans le cadre de ce réseau, merci de contacter Coralie Harnois.

CONSEIL ET DÉVELOPPEMENT

Mise en commun de leur expertise au service des artistes accompagné·e·s à travers des temps d’échanges et de conseils personnalisés.

VISIBILITÉ ET MISE EN RÉSEAU

Soutien de la visibilité des artistes avec l’organisation de rencontres, le tissage de nouvelles relations de partenariat et la construction d’un parcours de création à travers des temps de forte visibilité professionnelle.

PRODUCTION

Aide au montage de production des nouvelles créations par un apport financier de 15 000€ par artiste sur 3 ans.

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2ème promotion du dispositif

Projets & artistes accompagné·e·s par Puissance 4 en 2021-2022-2023

© Émilie Beauvais

Emilie Beauvais et Matthieu Desbordes de la Compagnie Supernovae

Into the groove (écorchés mais heureux)

Deux sœurs et un frère se retrouvent au bord de la mer. Leur père vient de mourir. Ils doivent digérer le choc de cette disparition et gérer la succession. Entre règlements de comptes et souvenirs, leur rencontre les fait remonter jusqu’aux années 80, les années Madonna. Comment vivre au présent quand le passé pèse autant ?

© Lucas Palen

Deux sœurs et un frère se retrouvent au bord de la mer. Leur père vient de mourir. Ils doivent digérer le choc de cette disparition et gérer la succession. Entre règlements de comptes et souvenirs, leur rencontre les fait remonter jusqu’aux années 80, les années Madonna. Comment vivre au présent quand le passé pèse autant ?

© Elsa Seguier Faucher

Près de cinquante ans après la mort du réalisateur italien Pier Paolo Pasolini, quatre artistes se retrouvent sur une scène de théâtre et plongent dans la nuit de ce meurtre pour en faire un spectacle. Oui mais lequel ? Quelle histoire raconter et comment ?

© Marie Clauzade

Julie Benegmos de la Compagnie Libre Cours

Strip : au risque d’aimer ça

L'installation performative de Julie Benegmos et Marion Coutarel propose aux spectateur·ice·s une expérience immersive dans le milieu du striptease. Mêlant fiction, récit autobiographique et témoignages, "Strip : Au risque d’aimer-ça" vient déranger l’ordre social et sexuel de notre société, déplaçant notre regard vers la question de l’amour.

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1ère promotion du dispositif

Projets & artistes accompagné·e·s par Puissance 4 en 2019-2020-2021

© Margot L’hermitte

Hugues Duchene de la Compagnie Royal Velours

Je m’en vais mais l’État demeure

Depuis l’élection du dernier président de la République, Hugues Duchêne est entré dans une expérience totale : L’écriture permanente d’une longue pièce de théâtre visant à transcrire les évolutions politiques de la France contemporaine. Il met en scène des évènements politiques connus de tous mais il lui arrive aussi de jouer à l’apprenti reporter, et le plus souvent, ce sont donc des évènements publics vécus intimement qui y sont narrés.

© Pablo Baquedano

Au début, il y a ce désir d’interroger notre rapport à la croyance, cette idée que l’homme a besoin de croire, que c’est en lui, et d’en déceler les mécaniques primitives et archaïques. Et puis, apparaissent un feu, une pierre, une guitare, trois acteurs, des toiles imprimées. Avec eux, des histoires. Puis, d’autres questions, une chanson, une bataille dans les montagnes, un voyage sur la Lune. Le théâtre sera notre terrain de jeu, le reste nous l’emprunterons à la grande fiction du monde.

© Fred Fouche

L’histoire des « postiches », gang de braqueurs rendus célèbres dans les années 80, sera prétexte à une exploration sensible du genre humain. Le Gang est une fresque théâtrale de ces « postiches », narrée par un groupe qui tente de trouver comment être considéré collectivement, au-delà de leur propre existence individuelle. Ils contrediront la rumeur, ce bruit sourd qui vient de nulle part mais qui se lit sur toutes les bouches. La presse, la Préfecture de Police, les gouvernements successifs, la mémoire populaire se sont racontés l’histoire de ce gang. Ils ont été tantôt considérés comme des hors la loi, des Robins des bois des temps modernes, des guérilleros urbains, des gauchistes révolutionnaires…

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